(Partie 2) 7 méthodes des labos pour créer un « blockbuster » à 1 milliard

Chère lectrice, cher lecteur,

Voici la suite de mon enquête sur les dessous de l’industrie pharmaceutique.

Dans la première partie (que vous pouvez consulter ici), je vous ai présenté les trois premières étapes de l’industrie pharmaceutique pour réussir à créer un médicament « blockbuster » qui rapporte plusieurs milliards de dollars de bénéfice.

Comme nous l’avons vu, les laboratoires mettent les gros moyens pour soigner l’image de leurs médicaments aux yeux des autorités de santé, à coups de gros billets et d’études promotionnelles.

Globalement, l’industrie pharmaceutique dépenserait 5,2 milliards de dollars par année pour faire la publicité de ses produits, tous supports confondus[1].

Aujourd’hui je vous propose de découvrir les 4 dernières méthodes employées par les labos pour réussir à gagner des milliards de dollars sur une pilule.

Méthode 4 : se mettre les médias dans la poche

Après avoir publié des études scientifiques positives, les industriels vont s’arranger pour que celles-ci soient relayées dans les milieux scientifiques et auprès du grand public par les grands médias.

« Il faut que des universitaires aillent de congrès en séminaires répandre la vérité sur la dernière merveille du monde qui vient d’arriver », raconte Philippe Even, médecin français connu pour ses critiques acerbes envers Big Pharma[2].

Ces « leaders d’opinions », payés par l’industrie, ont ensuite pour mission de promouvoir le médicament dans leur pays, que ce soit dans les journaux locaux ou sur les plateaux TV[3].

Ce n’est donc pas étonnant qu’on voie toujours les mêmes médecins dans les débats télévisés !

Comme pour les revues scientifiques, les labos n’hésitent pas non plus à mettre la main sur la presse en la finançant généreusement.

Ainsi, le Quotidien du Médecin, l’un des plus lus par les thérapeutes français, est financé à 60 % par la publicité, dont majoritairement celle des laboratoires[4].

Méthode 5 : organiser des « visites de courtoisie » chez les médecins

Après avoir financé plusieurs études positives, il reste ensuite à convaincre les médecins de prescrire le médicament.

Et pour cela, la technique est assez simple : elle consiste à envoyer un « visiteur médical », qui est en réalité un représentant de la marque venu promouvoir le traitement auprès des thérapeutes.

Et cela peut aller loin pour tenter de persuader le médecin.

Le Nouvel Observateur précise même, non sans ironie, que : « Les filles de chez Servier sont canon. C’est sans doute plus amusant d’écouter leurs topos que de lire « Prescrire » »[5].

Le métier de visiteur médical est d’ailleurs pleinement assumé et officiellement reconnu.

Il figure même sur le site de l’orientation professionnelle française (Onisep), qui le présente comme quelqu’un qui « fait du « porte-à-porte » auprès des prescripteurs (…). Attaché commercial, le visiteur représente un ou plusieurs laboratoires pharmaceutiques. Son rôle est de promouvoir leurs produits et de les faire prescrire aux malades[6]. » Le site ajoute qu’il « faut savoir convaincre son interlocuteur sur tel médicament, plus ou moins « nocif » qu’un autre ».

Le porte-à-porte pour nous vendre des brosses, ça passe encore. Mais quand notre santé est en jeu, c’est un peu limite…

Et c’est sans compter les restaurants et autres cadeaux « en nature » que les industriels offrent aux médecins pour se les mettre dans la poche.

D’après Mikkel Borch-Jacobsen, qui a étudié la campagne marketing de l’antidépresseur Lexapro, le fabricant aurait dépensé 115 millions de dollars pour la promotion du médicament… dont 36 millions rien que pour les repas « éducatifs » offerts aux médecins[7].

Méthode 6 : augmenter artificiellement le nombre de clients malades

Le meilleur moyen d’augmenter les ventes d’un médicament, c’est d’avoir davantage de patients à qui le prescrire.

Une technique classique consiste donc à abaisser les seuils à partir desquels quelqu’un est considéré comme malade.

Ainsi en 50 ans, les taux « normaux » pour le cholestérol ou l’hypertension n’ont pas cessé de descendre[8].

Selon Philippe Even, « l’industrie, puis les agences de santé et les médecins ont redéfini l’hypertension à 14, contre 16 auparavant. Alors que la tension moyenne de la population se situe aux alentours de 13. Ça n’a l’air de rien comme ça, je n’arrive pas à réveiller les gens à ce sujet, mais qu’est-ce que cela signifie ? Cela veut dire quadrupler le marché des antihypertenseurs, parce qu’il y a quatre fois plus de gens qui ont une tension entre 14 et 16[9] ! »

Faut-il faire baisser la pression coûte que coûte ?

Pas forcément.

Des publications scientifiques ont par exemple montré qu’entre 14-15.9, le taux de mortalité globale, de maladies coronariennes et d’AVC était le même avec ou sans traitement[10].

Depuis 30 ans, on suspecte même qu’une baisse de tension chez les personnes diabétiques ou souffrant de maladies coronaires sous les 13, le chiffre habituellement recommandé, pourrait augmenter le risque d’infarctus[11].

Le plus bas ne serait donc pas toujours le meilleur.

Méthode 7 : gérer les scandales

Avec toutes ces pratiques commerciales, on imagine bien que, tôt ou tard, des scandales éclatent…

Stalinon, thalidomide, Vioxx, Dépakine, Distilbène, Médiator, Levothyrox, opioïdes… les exemples ne manquent pas.

Mais à chaque fois, les laboratoires pharmaceutiques incriminés s’en sortent plutôt bien.

Prenons l’exemple de l’affaire du Mediator, qui aurait entraîné la mort de plus de 1 500 personnes et plus de 3 000 hospitalisations[12].

En mars 2021, le laboratoire Servier a été condamné à 2,7 millions d’euros d’amende pour « tromperie aggravée » et « homicides et blessures involontaires »[13].

Cela peut paraître beaucoup.

Mais en réalité, ce ne sont que des cacahuètes quand on sait que le groupe aurait fait 500 millions d’euros de chiffre d’affaires grâce à ce médicament[14].

Autant dire que la balance bénéfices/risques est plutôt intéressante pour l’industrie… et que cela ne va pas inciter les laboratoires à respecter les règles.

En 2013, un scandale éclate autour du valsartan, le traitement vedette contre l’hypertension du laboratoire Novartis (plus de 6 milliards de bénéfices !)[15].

Son succès est dû notamment aux publications enthousiastes d’un éminent cardiologue japonais, le Pr Hiroaki Matsubara, qui ont servi à promouvoir le médicament.

Problème, on constate des anomalies dans ces études : données falsifiées pour faire ressortir un bénéfice, complications cardiaques minorées, conflits d’intérêts (une des personnes impliquée dans l’étude était employée chez Novartis)…

Si bien que les études sont retirées en 2013 et que le professeur doit quitter son poste universitaire.

Qu’importe, cela n’a pas empêché le laboratoire de continuer à vendre son produit star…

Quand arrêteront-ils de s’en prendre aux approches naturelles ?

En plus de ces 7 stratagèmes, on notera aussi la tendance toujours plus forte des médias à s’en prendre aux solutions naturelles.

Il n’y a qu’à voir les récentes attaques en règles menées à l’encontre des naturopathes.

Ce 1er décembre, L’Obs vient d’ailleurs de publier en une de son édition du 30 novembre 2022, un important dossier incriminant la naturopathie[16].

Pour revenir à l’hypertension, ce n’est pas toujours facile de faire connaître certaines solutions non médicamenteuses pourtant efficaces, comme l’activité physique et l’alimentation.

Ainsi, le cardiologue François Carré, du CHU de Rennes, raconte qu’un jour, il avait fait un exposé à des médecins pour expliquer l’intérêt de l’activité physique contre l’hypertension : « Au bout de 10 minutes, une dizaine de médecins et internes avaient pris la porte, au bout de 20, une dizaine d’autres étaient partis. À la fin de mon exposé, il ne restait plus que le chef de service et son assistant. Ça leur semblait à tous complètement obscur[17]. »

Pourtant, même la Société européenne de cardiologie reconnaît le rôle capital du mode de vie pour faire face à l’hypertension.

Elle écrit ainsi que « des changements appropriés du mode de vie sont la pierre angulaire de la prévention de l’hypertension. Ils sont également importants pour son traitement (…) Les études cliniques montrent que les effets sur la tension des modifications du style de vie peuvent être équivalents à ceux d’un traitement par un seul médicament (…) Parallèlement aux effets sur la tension artérielle, ces changements ont des effets positifs sur d’autres facteurs de risque et d’autres pathologies[18]. »

7 techniques naturelles qui peuvent faire baisser la tension

En plus d’une activité régulière et d’une alimentation saine (moins de sel, moins d’alcool, moins de produits transformés, plus de fruits et légumes…), on peut également mentionner l’importance de la respiration.

Une récente étude publiée dans le Journal of the American Heart Association, a notamment démontré que 5 minutes par jour d’exercices de respiration (qu’on appelle « entraînement de la force musculaire inspiratoire ») pouvaient réduire la tension artérielle[19].

Par ailleurs, différentes plantes ont des effets démontrés sur la tension artérielle et peuvent être utilisées en première intention :

  • Hibiscus : de nombreuses études ont mis en avant les effets hypotenseurs des fleurs d’hibiscus, souvent utilisées en infusion (notamment pour le fameux bissap)[20-21-22]. La fleur aurait également des bienfaits de façon plus globale sur le système cardiovasculaire[23].
  • Ail noir : une équipe australienne a prouvé que quatre gélules d’extrait d’ail noir par jour pendant 12 semaines réduisaient la tension de personnes hypertendues : à la fin de l’étude les personnes qui avaient pris l’ail noir avaient une pression plus basse que ceux qui avaient eu le placebo[24].
  • Betterave rouge : d’après des travaux menés sur 64 personnes, un verre de jus de betterave par jour réduirait significativement la pression sanguine des patients atteints d’hypertension artérielle, grâce à sa forte teneur en nitrate inorganique, qui agit sur la dilatation des vaisseaux sanguins[25].
  • Thé vert : récemment, un essai publié dans Cellular Physiology and Biochermistry a trouvé que le thé, qu’il soit vert ou noir, contiendrait des antioxydants qui réduiraient la pression artérielle en activant une protéine appelée KCNQ5[26].
  • Cacao : manger du chocolat pour réduire la tension ? Ça peut sembler absurde, et pourtant… Il y a quelques semaines, des scientifiques ont donné pendant plusieurs jours 860 milligrammes de flavanols de cacao par jour à des volontaires. La pression systolique a alors été réduite d’environ 1,4 mmHg sur 12 heures[27].
  • Pomme de terre : en mai 2021, les travaux de trois chercheurs américains ont montré qu’une consommation régulière de pommes de terre permettrait de réduire la rétention de sodium, ce qui pourrait abaisser la tension artérielle[28].
  • Feuilles d’olivier : c’est le traitement de choix en cas d’hypertension légère. Elles sont aussi excellentes pour réguler le rythme cardiaque et augmenter le débit coronarien. Posologie : 2 gélules le matin ou en infusion (30 g dans 1 l d’eau par jour), 5 jours par semaine.

Nous sommes arrivés à la fin de cette longue lettre (en deux parties) sur les dessous de l’industrie pharmaceutique, avec l’hypertension comme fil conducteur.

Cette enquête est le fruit d’un long travail de recherche. J’espère qu’elle vous aura éclairé sur les manigances malheureusement peu connues de certains laboratoires.

Si vous souhaitez réagir à ma lettre, n’hésitez pas à me laisser un commentaire en cliquant ici.

Amicalement,

Florent Cavaler





[1] Rebecca Robbins, Drug makers now spend $5 billion a year on advertising. Here’s what that buys, Stat News, 9 mars 2016.
[2] Sarah Lefèvre, Les cinq méthodes de l’industrie pharmaceutique pour nous bourrer de médicaments inutiles, Reporterre, 10 février 2016.
[3] Idem.
[4] Anne Crignon et Nathalie Funès, Les dessous de l’industrie pharmaceutique, L’Obs, 7 septembre 2011.
[5] Idem.
[6] Visiteur/euse médical/e, Onisep, République Française.
[7] Anne Crignon et Nathalie Funès, Les dessous de l’industrie pharmaceutique, L’Obs, 7 septembre 2011.
[8] Nicolas Postel-Vinay, Seuils et cibles de pression artérielle : Chiffres sous influences, HTA Info N° 29, décembre 2010.
[9] Sarah Lefèvre, Les cinq méthodes de l’industrie pharmaceutique pour nous bourrer de médicaments inutiles, Reporterre, 10 février 2016.
[10] Catherine Sokolsky, HypertensionTout savoir sur l’hypertension artérielle, Que Choisir, 1er mars 2014.
[11] Idem.
[12] Eric Favereau, Mediator Laboratoires Servier, anatomie d’un système, Libération, 20 septembre 2019.
[13] Stéphane Durand-Souffland, Les laboratoires Servier rattrapés par le poison Mediator, Figaro, 29 mars 2021.
[14] Eric Favereau, Mediator Laboratoires Servier, anatomie d’un système, Libération, 20 septembre 2019.
[15] Pierre Barthélémy, Scandale autour d’un médicament vedette contre l’hypertension, Le Monde, 21 juillet 2013.
[16] Cécile Deffontaines et Elodie Lepage, Les dérives des naturopathes : de la détox à l’intox, L’Obs, 30 novembre 2022.
[17] Séverine Breton, Santé. François Carré, ce médecin Breton qui défend le sport, de tout son cœur, France 3, 28 novembre 2022.
[18] Catherine Sokolsky, HypertensionTout savoir sur l’hypertension artérielle, Que Choisir, 1er mars 2014.
[19] Daniel H. Craighead and al., Time‐Efficient Inspiratory Muscle Strength Training Lowers Blood Pressure and Improves Endothelial Function, NO Bioavailability, and Oxidative Stress in Midlife/Older Adults With Above‐Normal Blood Pressure, Journal of the American Heart Association. 2021;10:e020980.
[20] Perrera-Arellano A, Flores-Romero S, Chávez-Soto MA, Tortoriello J. Effectiveness and tolerability of a standardized extract from Hibiscus sabdariffa in patients with mild to moderate hypertension: a controlled and randomized clinical trial. Phytomedicine. 2004 Jul;11(5):375-82.
[21] McKay DL, Chen CY, Saltzman E, Blumberg JB. Hibiscus sabdariffa L. tea (tisane) lowers blood pressure in prehypertensive and mildly hypertensive adults. J Nutr. 2010 Feb;140(2):298-303.
[22] Gurrola-Díaz CM, García-López PM, Sánchez-Enríquez S, Troyo-Sanromán R, Andrade-González I, Gómez-Leyva JF. Effects of Hibiscus sabdariffa extract powder and preventive treatment (diet) on the lipid profiles of patients with metabolic syndrome (MeSy). Phytomedicine. 2010 Jun;17(7):500-5.
[23] Hernández-Pérez F, Herrera-Arellano A. Tratamiento de la hipercolesterolemia con Hibiscus sabadariffa. Ensayo clínico aleatorizado controlado [Therapeutic use Hibiscus sabadariffa extract in the treatment of hypercholesterolemia. A randomized clinical trial]. Rev Med Inst Mex Seguro Soc. 2011 Sep-Oct;49(5):469-80. Spanish.
[24] Benjamin, Ail noir et hypertension, Pourquoi et comment consommer de l’ail noir pour lutter contre l’hypertension ?, Ile aux épices, 7 octobre 2019.
[25] Hélène Bour, Hypertension : les avantages du jus de betterave confirmés, Top Santé, 21 janvier 2015.
[26] Kaitlyn E. Redford & al., KCNQ5 Potassium Channel Activation Underlies Vasodilation by Tea, Cellular Physiology & Biochemistry, 2022.
[27] Margot Montpezat, Hypertension : du cacao pour réduire le risque ?, Pourquoi Docteur?, 9 août 2022.
[28] Stone, M.S.; Martin, B.R.; Weaver, C.M. Short-Term RCT of Increased Dietary Potassium from Potato or Potassium Gluconate: Effect on Blood Pressure, Microcirculation, and Potassium and Sodium Retention in Pre-Hypertensive-to-Hypertensive Adults. Nutrients 2021, 13, 1610.

19 réponses à “(Partie 2) 7 méthodes des labos pour créer un « blockbuster » à 1 milliard”

  1. Vidal. dit :

    Je vous remercie pour ces excellentes données , qui nous instruisent si fort. VA.

  2. NORMAND Maurice dit :

    Bonjour je suis avec 3 médicaments pour l’hypertension . le problème c’est comment faire pour diminués les médicaments allopathiques et prendre le relais avec des méthodes naturelle . qui rencontrer pour ce tour de force ? Actuellement je suis seul avec les effets secondaires et je n’est trouvé personne en naturopathie qui prenne la responsabilité de substitué un traitement d’un docteur allopathe

    • Florent dit :

      Bonjour Maurice,
      Seul un médecin est habilité à vous prescrire (ou vous déprescrire) un médicament. Ne prenez pas de décision sans l’accord de celui-ci. La naturopathie ne remplace pas l’approche médicale et n’a pas son mot à dire sur la validité d’un traitement. Il existe de nombreux médecins, peut-être en trouverez vous un qui accepte de vous accompagner dans votre projet.
      Amicalement,
      Florent

  3. PINCE Christian - 64100 BAYONNE dit :

    eNTI7REMENT D4ACCORD

  4. Patrice Crespel dit :

    Merci Florent, pour cet article intéressant, bien structuré et documenté, qui confirme ce que je savais intuitivement (par croisement de données et expérience professionnelle).
    Bonne continuation à votre entreprise
    Bien à vous
    Patrice

  5. Dugué dit :

    Merci de publier des articles comme celui-ci et d informer le grand public. En tant que préparatrice en pharmacie j ai travaillé dans le milieu hospitalier pendant 14 ans. Je suis écœurée des pratiques d achats. Les hôpitaux achètent les médicaments et dispositifs médicaux en se regroupant et font des marchers avec les labos. C est le moins cher qui l emporte.
    On peut comprendre cela car le budjet est très important, mais tant que le marché dure, l’hopital reste coincé avec le labo. Et acheter chez un autre coûte bien plus cher.
    Ce qui me désole c est que les prescripteurs ne se remettent pas en question. J ai été outrée lors du scandale du levothyrox, même l endicrino n a pas pris le problème au serieux. Résultat, le levothyrox est resté et n a pas été substitué.
    Je vais m arrêter là car je pourrais trouver faiblement d autres exemples.
    Merci à vous.
    Corinne Dugué

  6. dimdammeister dit :

    Avis personnel. Tres bien ecrit…

  7. Gaidot Anne Marie dit :

    Tout à fait d’accord avec votre lettre. Je viens de vivre une triste expérience avec mon mari qui est décédé il y a 6 mois suite à un AVC qu’il a fait il y a 10 ans. Trop de médicament l’ont maintenu pendant ce laps de temps, mais à quel prix! Je me suis rendue compte que la cardiologue qui le soignait abusait de trop de médicaments. Le grand regret que j’ai c’est de ne pas m’être adressé à un naturophate. Il serait peut-être décédé dans de meilleures conditions. J’accuse.

  8. FRANCOIS dit :

    Bonjour et merci pour ses précieux renseignements

  9. hervé Santin dit :

    Je me soigne par homéopathie depuis plus d’un demi siècle. J’ai eu un cancer du colon polype de 3 cm de diamètre rempli de carcinomes. j’étais déjà soigné dans l’état précancéreux par homéopathie..apres extraction en deux fois de ce polype,tout le tube digestif a des tissus sains. Si l’homéopathie soigne le cancer, elle a aussi soigné mon covid (j’ai évidemment refusé de me faire vacciné).tout ce que je dis n’est jamais annoncé dans les medias..et toutes mes démarches pour en parler n’aboutissent a rien…

  10. S. ARCHAMBAUD dit :

    Merci,
    j’ai une « hypertension » selon le moment de 13 à 16 en moyenne…. et j’ai apprécié vos conseil

  11. Cauhépé dit :

    Excellent article et bien sourcé.
    Merci bcp

  12. Orchidee dit :

    Je me soigne avec des plantes médicinales et autres depuis 40 ans .Vous ne m’apportez rien et en plus j’ai été visiteuse médicale et alors.Vous êtes en retard

  13. PREEL Paola dit :

    Mzexi pour toutes ces infirlations

  14. MARCELLIN Philippe dit :

    merci
    vos explications sont très convaincantes

  15. Chiriot dit :

    Merci beaucoup de nous éclairer sans qu’il y ait derrière une intention mercantile
    Bonne chance à vous
    C Chiriot

  16. Annie dit :

    Bonjour, je souffrais d’hypertension depuis de très nombreuses années (16/10 et plus) et suite à un avc en 2021 et ne voulant pas dépendre de divers traitements allopathiques le restant de ma vie, j’ai décidé de faire un autre choix, à savoir opter pour une alimentation méditerranéenne et faire 20 mn d’exercices physiques par jour assez régulièrement.
    Quelques semaines plus tard, tous mes paramètres médicaux sont revenus progressivement à la normale et sont toujours stables actuellement, que ce soit la tension, le diabète ou le cholestérol !
    Donc, vous avez entièrement raison de dire que l’alimentation et un peu d’exercices physiques réguliers suffisent à se passer de traitements chimiques, j’en suis la preuve vivante !!! Cordialement

  17. Cros nicole dit :

    Grand Grand merci pour ces informations tout autour de moi des personnes st traitées pour l hypertension et tts ont des effets secondaires c est pitoyable….

  18. Peden Latorré dit :

    Merci pour cette lettre! Je fait de l’hypertension et je ne veux pas prendre de médicaments… Je viens d’arrêter de fumer. Vous m’avez convaincu : je vais adopter les solutions naturelles, qui en plus sont très faciles et peu couteuse …

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