Vaccin et femmes enceintes : un risque pour le bébé
Chère lectrice, cher lecteur,
Je ne sais plus où donner de la tête…
Après la suspension du vaccin Moderna chez les jeunes dans de nombreux pays européens[1]…
Après les résultats inquiétants d’une récente étude française, qui pousse la Haute Autorité de Santé à déconseiller elle aussi le vaccin Moderna chez les moins de 30 ans[2]…
Après la fraude de grande ampleur sur l’étude du vaccin Pfizer, révélée par une lanceuse d’alerte dans une prestigieuse revue scientifique[3]…
Après l’arrêt des deuxièmes doses avec le vaccin Pfizer chez les 12-17 ans à Taïwan[4]…
Et après les révélations stupéfiantes d’une médecin de l’armée américaine sur les effets graves des vaccins chez les soldats[5]…
Une nouvelle bombe vient de tomber.
Le vaccin devrait être contre-indiqué chez la femme enceinte selon une étude
Des chercheurs mettent en garde contre l’utilisation des vaccins à ARNm chez les femmes enceintes.
Selon eux, ils devraient être contre-indiqués en cas de grossesse[6].
Vous le savez, nos autorités (et celles de la plupart des pays) recommandent la vaccination pour les femmes enceintes, et cela dès le premier trimestre[7-8].
Selon l’ANSM, les recherches auraient montré que cela ne présente pas de risque particulier[9].
En réalité, cette affirmation ne repose que sur une seule étude du CDC, parue en avril dernier dans la revue New England Journal of Medicine[10].
Sauf que…
En octobre, cette étude a été corrigée.
7 à 8 fois plus de risques de fausses couches
Les auteurs de l’étude ont reconnu que l’estimation des risques de fausses couches n’était pas fiable à cause du manque de données de suivi qu’ils avaient à l’époque[11].
Depuis, deux chercheurs néo-zélandais, Aleisha Brock et Simon Thornley, ont recalculé le risque de fausse couche sur la base des chiffres complets de l’étude du CDC[12]… et leur conclusion est inquiétante.
Chez les femmes qui ont été vaccinées durant les 20 premières semaines de gestation, le risque de fausse couche serait ainsi 7 à 8 fois supérieur à la norme :
« Notre nouvelle analyse indique une incidence cumulée des avortements spontanés 7 à 8 fois supérieure aux résultats des auteurs originaux et à la moyenne typique des fausses couches au cours de cette période[13]. »
Selon les deux scientifiques, les décisions politiques sur la vaccination des femmes enceintes seraient basées sur des « données peu fiables et douteuses ».
Ces décisions ne seraient donc pas justifiées et devraient être revues en urgence.
Les chercheurs sont très clairs : il faudrait stopper immédiatement la vaccination à ARNm chez les femmes enceintes ou allaitantes, les enfants et les personnes en âge de procréer :
« Nous suggérons le retrait de l’utilisation du vaccin à ARNm pendant la grossesse et l’allaitement, parallèlement au retrait des vaccins à ARNm pour les enfants ou des personnes en âge de procréer dans la population générale, jusqu’à ce que des données plus convaincantes relatives à la sécurité et aux impacts à long terme sur la fertilité, la grossesse et la reproduction soient établies dans ces groupes[14]. »
2 433 fœtus perdus aux USA… et on prône la 3e dose chez les femmes enceintes en France ?!
En France, nous ne disposons pas de chiffres précis sur le nombre de fausses couches qui ont suivi la vaccination.
Mais aux États-Unis, la VAERS, l’organe officiel de signalement des effets secondaires des vaccins, publie avec transparence ces chiffres.
Selon la VAERS, 2 433 cas de fausses couches ont été signalés avec les vaccins contre le covid[15] !
En 11 mois, il y a eu plus de cas reportés que durant les trente dernières années[16] !
Et on ne compte pas ici toutes les fausses couches qui n’ont jamais fait l’objet d’un signalement.
C’est d’autant plus inquiétant qu’en France, les gynécologues recommandent désormais la troisième dose pour les femmes enceintes.
Dans un récent communiqué, le Collège national des gynécologues et obstétriciens français appelle les autorités à ouvrir la dose de rappel aux femmes enceintes et aux femmes en âge d’avoir une grossesse[17]…
Alors qu’on vient tout juste de découvrir que la seule étude portant sur cette tranche de la population montre en réalité un risque significatif de fausse couche ?!
Cherchez l’erreur !
Une gestion de crise à deux vitesses
Ces révélations sur les risques des vaccins, en plus d’être une mise en garde sérieuse pour les femmes enceintes, témoignent de deux problèmes majeurs dans la gestion de cette épidémie :
- D’un côté, la précipitation de nos autorités à valider des traitements malgré le manque de données fiables sur leur sécurité
- D’un autre, la lenteur de ces mêmes autorités à réagir quand une alerte survient
L’ANSM a approuvé la vaccination des femmes enceintes, et cela dès le premier trimestre, en se basant sur des données très fragiles.
Même Pfizer, sur son site officiel, reste extrêmement prudent sur la question à cause du manque de garanties[18] :
Et quand une alerte est lancée par les scientifiques, en s’appuyant cette fois-ci sur un travail complet et rigoureux, nos autorités tardent à réagir.
Voilà une semaine que l’étude néo-zélandaise a été publiée, et l’ANSM n’a même pas pris la peine de la commenter.
AstraZeneca, Moderna… l’histoire se répète !
Vous souvenez-vous du temps de réaction de nos autorités lorsqu’il a fallu suspendre le vaccin AstraZeneca chez les moins de 55 ans, alors que de nombreux cas de thromboses avaient été signalés[19]?
Pareil pour Moderna : il a fallu attendre que de nombreux pays d’Europe le suspendent chez les jeunes pour que la HAS le déconseille enfin chez les moins de 30 ans[20].
Et l’affaire n’est pas terminée, puisque Moderna vient de faire une demande d’autorisation de son vaccin pour les 6-11 ans[21] !
À chaque fois, le gouvernement agit à la va-vite quand il faudrait faire preuve de prudence, et trop tardivement quand il faudrait réagir promptement.
Et cela se fait malheureusement aux dépens des patients…
N’a-t-on rien appris du Mediator et des autres scandales sanitaires ?
Ce n’est pourtant pas la première fois que les autorités tardent à réagir. On se rappelle le scandale du Mediator, utilisé par 5 millions de Français depuis 1976[22].
Il aura fallu plus de trente ans et des milliers de morts pour que ce médicament soit enfin retiré du marché !
En France, il est retiré seulement en 2009, grâce à la lanceuse d’alerte Irène Frachon, pneumologue au CHU de Brest qui a enquêté pendant 10 ans sur ses effets cardiaques.
Pourtant, les effets négatifs graves de son principe actif avaient été découverts dans les années 1990 et certains pays, comme l’Italie, avaient déjà interrompu sa commercialisation en 1999 à cause de ses risques.
En mars 2021, l’ANSM, jugée pour négligence et pour avoir tardé à réagir, a été condamnée à 303 000 euros d’amende.
Quant au laboratoire Servier, qui commercialisait le Mediator, il a été condamné à payer 2,7 millions d’euros pour « tromperie aggravée ». « Malgré la connaissance qu’ils avaient des risques encourus depuis de très nombreuses années », le laboratoire aurait privilégié ses intérêts financiers aux dépens de la « santé des consommateurs du médicament[23] ».
2,7 millions, une broutille pour un scandale qui a permis au laboratoire de vendre des millions de pilules !
Mais ce procès a tout de même le mérite de révéler au grand jour les dérives de l’industrie pharmaceutique et du système de surveillance des médicaments…
Comment est-ce possible qu’un médicament puisse être commercialisé pendant 30 ans, avant qu’on ne reconnaisse enfin officiellement sa dangerosité ?
Aujourd’hui, l’histoire ne fait que se répéter.
Les scandales du passé semblent avoir déjà été oubliés, au profit d’une confiance aveugle dans les laboratoires et nos autorités de santé.
Espérons au moins que la crise actuelle nous permettra de prendre conscience de la défaillance du système médical actuel et de le réformer.
Amicalement,
Florent Cavaler
Malheureusement, ses chercheurs se sont rétracté, sûrement par pressions faites par les plus haut placés….
Un grand merci pour ces sources. Le plus difficile est de les diffuser à ceux qui n’entendent plus rien, ne voient rien, ou ne veulent rien savoir. Cependant, persistons, grâce à vos articles basés sur une recherche scientifique fiable.
Au vu de tous les effets secondaires et leurs conséquences mortelles pour les VACCINES, pourquoi rien ne filtre aux infos et dans les médias, et pourquoi toutes les chaînes de TV font-elles l’apologie de ces soi-disant vaccins ? Qu’attend-on pour faire connaître cette catastrophe au plan national et international ?
Bonjour, j’aurais aimé avoir votre opinion personnelle sur ma question ; quel est d’après vous le but final recherché par les laboratoires mais aussi les politiciens, médecins,… et cela dans de nombreux pays notamment Russie, Chine,…
Il y a plusieurs hypothèses mises en-avant ….mais il me plairait d’avoir la vôtre ..
Merci pour l’intérêt que vous portez à l’humain, l’humanité
Vous souhaitant une belle journée
Bonjour
Pas possible de partager sur facebouc
Seriez vious censuré
Cordialement
Therapie génétique a but final d’extermination des 3/4 de la pop. mondiale sous 2 ans ……la revanche des nazeees dilués dans la mondialisation a la tete du NWO (Schwab,Soros,Gates) ….. qui ont infiltre tous ces labos et calibrent des doses avec des Algos [AI] pour perturber les Stats des scientifiques et enbrumer les poltiques presque tous corrompus ……..Armageddon retour de l’AnteChrist…….. 💀🛰️🛸💀🛰️🛸💀